À base de nicotine, ces remèdes aident à soulager et à compenser les effets de manque lorsque l’on arrête de fumer. En fait, ils permettent de continuer d’absorber « sa dose » de nicotine sans pour autant inhaler le goudron, le monoxyde de carbone et les 4000 autres produits chimiques toxiques contenus dans la fumée d’une cigarette.
Selon l’Assurance Maladie, il a été prouvé scientifiquement que les substituts nicotiniques augmentent les chances de réussite dans l’arrêt du tabac de 50 à 70% et de découvrir les bienfaits d'arrêter.
Ils existent sous trois formes :
- De patchs ou de timbres : Ils s’appliquent directement sur la peau et diffusent lentement la nicotine à travers la peau, pendant une durée allant de 16 à 24 heures.
- De gommes à mâcher, de pastilles ou de comprimés à sucer… ils contiennent un dosage en nicotine plus ou moins important. Celui-ci se diffuse à travers la muqueuse buccale. Ils agissent assez rapidement.
- D’hinaleurs, sorte de cigarette en plastique : En aspirant l’air chargé en micro-gouttelettes de nicotine, ces dernières viennent se déposer sur la membrane qui tapissent les cavités de la bouche.
Sur ordonnance, ces substituts nicotiniques sont remboursés par l’Assurance Maladie.
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