En agissant directement ou indirectement sur le métabolisme, les micro-organismes pathogènes, la stimulation des catalyses enzymatiques ou la régulation des hormones, les huiles essentielles renforceraient nos défenses immunitaires et stimuleraient, entre autres, les mécanismes d’auto-régulation de l’organisme et du système immunitaire.
- Les antibactériennes :
Ce sont principalement les HE possédant des phénols, des molécules aromatiques dont le coefficient antibactérien est le plus élevé. On trouvera le Basilic à thymol, le Thym à thymol, certains Eucalyptus, l’Origan d’Espagne, le Clou de girofle…
- Les antivirales :
On aura également recours aux HE à phénol, mais aussi à monoterpénol. Essence de citron, Laurier noble, Thym thujanol, Ajowan, Niaouli, Palmarosa, Ravensara, Sariette des montagnes.
- Les antifongiques :
Aux deux groupes cités juste au-dessus, on ajoutera les alcools et les lactones sesquiterpéniques. Contre les mycoses, on peut utiliser : le Bois de rose, la Cannelle de Chine, l’Épinette noire, l’Eucalyptus citronné, le Géranium rosat d’Égypte, la Lavande aspic, l’Origan Compact, le Romarin cinéole.
- Les antiseptiques :
Les aldéhydes et les terpènes combattent la prolifération des germes pathogènes. On préférera l’Eucalyptus radiata, la Citronnelle de Ceylan, les Fleurs d’oranger, le Romarin, le Sapin de Sibérie.